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Témoignages : Attentats ... Covid ... 

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Commémorations - HommagesSociétéReligion

Publié le 13/11/2020 à 20:01

La fédération des musulmans du Tarn représentée par son secrétaire général Bassirou Camara, l’imam Abdel Hamid et Steeven Lallemand, fidèle de la mosquée de Saint-Juéry, sont venus ce vendredi après-midi à la cathédrale Sainte-Cécile déposer une gerbe de fleurs, pour « témoigner (leur) solidarité à l’égard de la communauté chrétienne et rejeter toute forme de violence ». Ils ont été accueillis par Monseigneur Jean Legrez, Archevêque d’Albi et le père Paul de Cassagnac, curé de la cathédrale, sur le parvis de Ste-Cécile.


« Toutes nos condoléances pour ce qui s’est passé. Nous sommes tristes. L’Islam prêche la miséricorde, la fraternité, la tolérance. L’Islam interdit le meurtre et dit que celui qui tue un être humain, c’est comme s’il tuait toute l’humanité. Ceux qui commettent ces actes ne sont pas des musulmans, ce sont des barbares » a insisté l’Imam Abdel Hamid.

« C’est à nous, ensemble, de faire front »

La rencontre initialement prévue par la préfète du Tarn entre les représentants de s différents cultes dans le département, ayant été rendue impossible par le confinement, la toute nouvelle fédération des musulmans du Tarn a pris l’initiative de cette démarche de fraternité. Une initiative saluée par l’Archevêque d’Albi qui a rappelé la démarche de François d’Assise, au XIIIe siècle, venu à la rencontre du sultan de Babylone en pleine guerre entre chrétiens et sarrasins. « C’est à nous, tous ensemble, de faire front. Nous avons cet engagement-là » a assuré Bassirou Camara.

Père Franklin Parmentier curé de la Basilique Notre Dame de l'Assomption à Nice 

Le 1er novembre devait être le jour de votre messe d’installation en tant que nouveau curé de la basilique Notre-Dame de l’Assomption. Elle n’aura finalement pas lieu…

Franklin Parmentier : Oui. Nous ferons une messe de réparation à la place, à 18 heures suivie de la messe de la Toussaint. Elle a lieu lorsque l’on blesse gravement l’Église. Nous confierons cette réparation aux mains de Dieu et lui demanderons pardon pour qu’il nous aide à retrouver ce pourquoi l’église est faite. Qu’elle ait lieu un 1er novembre n’est pas un hasard, je pense. Dieu nous donne l’occasion de répondre à un acte de haine et de mort par un acte de communion et d’amour, par la restauration d’un lieu où Dieu donne la vie. J’y vois un signe très symbolique.

La basilique va donc vite rouvrir ?

Oui, dès lundi, lors de la prière aux défunts.

Quelques chrétiens effrayés appellent au contraire l’Église à fermer ses lieux de culte, pour ne prendre aucun risque dans ce contexte explosif. Pourquoi ne pas les fermer ?

Car les terroristes n’attendent que ça. Nous refusons de nous soumettre à la violence, à la peur, à la barbarie. Je ne les laisserai pas gagner. Nous, chrétiens, avons déjà fait l’expérience du Christ mort sur la croix, comme un agneau conduit à l’abattoir. « À cause de toi, nous risquons sans arrêt la mort. On nous traite comme des moutons de boucherie » (Romains 8, 36-39). Jésus a ouvert le tombeau, il ne l’a pas fermé. Les chrétiens ne fermeront donc pas les églises, qui sont des lieux de résurrection. Je sais que certains trouvent cela dangereux ou irresponsable. Mais si l’on pense que vivre, ce n’est pas prendre de risques, alors on ne vit pas. On subit.

Mère Teresa disait dans une très belle prière : « la vie est un combat, accepte-le. La vie est une tragédie, lutte avec elle. La vie est la vie, défends-là. La vie est bonheur, mérite-le ». Dans le Veni creator, nous demandons à l’Esprit saint de nous consoler. Ce n’est pas seulement une jolie chanson ; c’est dans ces moments-là, plus que jamais, que nous devons demander la force de l’Esprit saint.

Restera-t-il des traces physiques de l’attaque dans l’église ?

Les équipes de police et de l’antiterrorisme ont mis sous scellé tout ce qui était nécessaire pour leur enquête. La basilique a ensuite été plusieurs fois nettoyée. Je m’y suis rendu aujourd’hui. Tout était propre, les lieux sentaient bon. Mais cela ne lave pas l’émotion qui est en nous.

Connaissiez-vous bien Vincent Loquès, le sacristain assassiné de la basilique ?

Je l’ai connu il y a dix-neuf ans. Il était alors sacristain à sainte-Jeanne-d’Arc de Nice, où j’étais séminariste. Il avait son caractère. Mais c’était avant tout quelqu’un de généreux, avec beaucoup de talent. Il faisait de très belles crèches ; mardi, il me parlait des futures installations autour d’un déjeuner. Il accueillait très bien les gens. Il avait supprimé une partie des bancs pour que les fidèles aient plus de place pour prier dans la basilique. Quand vous avez des idées comme ça, c’est que vous aimez le lieu dont vous vous occupez.

La fonction de sacristain perdurera-t-elle à la basilique ?

(Silence) Il faut vivre le moment où Dieu nous demande de le vivre. Il y a un temps pour pleurer, faire mémoire, et ensuite penser au fonctionnement. A force d’être toujours dans la prévision, on ne vit plus le moment présent. Un moment, il faut savoir s’arrêter. Pour l’instant, nos pensées, ce sont Vincent, Nadine, Simone.

Vous rendez-vous souvent à la basilique ?

Deux fois par jour. Je suis curé de trois paroisses, dont celle-ci. Je m’y arrêtais presque tous les jours pour dire bonjour à Vincent, ramasser le courrier, voir l’économe diocésain. La veille de l’attaque, j’y disais la messe à 18 heures. Je devais le faire à la même heure, le 29 octobre.

Vous êtes-vous dit que vous auriez pu être dans la basilique lors de l’attentat ?

Oui. Mais on n’essaye de ne pas y penser. Ce qui me fait tenir, ce sont les témoignages d’affection, les prières des croyants, de la communauté, de ma famille. Autrement dit, la puissance de l’amour et de l’amitié, qui est l’expérience de ce qu’est le véritable Dieu. Hier, j’ai reçu un message des religieuses du Carmel de Lyon. Elles priaient pour nous. Ça m’a touché. Ce n’est pas négligeable, la communion de la prière.

Croyez-vous qu’il y ait une signification au fait que cet acte ait eu lieu quelques jours avant votre messe d’installation ?

(Il garde longtemps le silence) C’est une question que je me pose depuis plusieurs jours. En 2015, des inondations avaient déjà tué 20 personnes sur ma paroisse, Saint Vincent de Lérins, autour de Mandelieu-la-Napoule. C’était très douloureux. L’an dernier, ça a recommencé, avec sept morts. Il y a deux ans, j’ai eu un terrible accident, qui m’a bien ralenti. Je ne pense pas porter la poisse. Mais on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi l’on vit ces expériences-là.

Or, « quand on cherche la réponse au pourquoi, on cherche un responsable, un coupable. Lorsqu’on cherche la réponse au comment, on se trouve des alliés ». Cette remarque de l’écrivaine Anne-Dauphine Julliand m’a profondément marqué. Je la porte depuis des années. Il faut vivre avec des alliés, pas des ennemis. Saint Paul disait : « Dieu ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ». Si Dieu souhaite que je sois là à ce moment-là, c’est peut-être parce qu’il me demande d’être un témoin. Notre foi nous oblige à prendre au sérieux ce qu’est la Résurrection, la violence, la question du mal, la puissance de l’Esprit saint. Ce ne sont pas juste des textes récités. Je crois en un Dieu qui a vaincu le mal. Celui qui veut être tout puissant par la violence, c’est le diable, la toute-puissance magique, qui ordonne à Jésus de se jeter du temple. Dieu ne veut rien faire par sadisme. L’amour de Dieu est plus grand que tous les pouvoirs.

Avez-vous ressenti, malgré tout, de la colère ?

Oui, j’ai eu beaucoup de colère. Mais il y a deux sortes de colères. Celle que l’on ressent lorsque le monde n’est pas tel que l’on voudrait qu’il soit. Et celle éprouvée lorsque la réalité du monde nous dépasse.

La première colère, c’est de l’orgueil. On voudrait que le monde soit à notre image. Or, le monde est à l’image de Dieu. La seconde colère, c’est celle que j’ai ressentie, contre quelque chose qui nous dépasse infiniment. C’est une révolte contre le mal. Mais il ne faut pas réponde au mal par le mal. Cela voudrait dire que l’on laisse Satan gagner. Notre colère ne doit pas nous faire ressembler à Satan, mais à Dieu. Dieu est parfois en colère dans la Bible. Mais c’est une colère d’amour : il veut que nous vivions dans l’amour. Notre colère doit susciter en nous une force d’amour et non pas de destruction, de vengeance, de haine.

Comment y parvenir, dans ce monde qui souffre tant actuellement ?

C’est justement maintenant que commence notre foi. La réalité nous fait toucher du doigt ce que nous professons. La foi n’est pas qu’une croyance, une doctrine, un système, mais une relation à Dieu. La Parole de Dieu n’est pas faite que pour les hommes qui vivaient il y a 2000 ans, mais pour aujourd’hui. Voyez le texte de la liturgie quotidienne le jour de l’attaque : « Revêtez l’armure de Dieu pour être en état de tenir face aux manœuvres du diable. (…) Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix, et ne quittant jamais le bouclier de la foi » (Ephésiens 6, 10-20).

Avez-vous peur ?

Ce n’est pas une question de peur, plutôt de prendre la mesure de ce qu’il s’est passé. Quand on fait face à un tel abîme de violence… (Il s’interrompt, s’essuie les yeux) Vous savez, le temps s’est arrêté ce jour-là. Je suis arrivé à 9h39 à la basilique, entouré de sirènes, de policiers, d’hommes politiques. Beaucoup ont été admirables. Nous ne sommes pas seuls ; à l’extérieur, il y a des gens merveilleux, et à l’intérieur, il y a le cœur à cœur avec Dieu.

Blessé, le terroriste est actuellement soigné. Avez-vous pensé à lui ?

Quand le pape Jean-Paul II a été attaqué, le 13 mai 1981, son assaillant n’est pas mort. Beaucoup le souhaitaient. Mais quelque chose a transformé cet homme en prison. Benoît XVI disait qu’il fallait « espérer contre toute espérance ». J’espère que cet homme qui a attaqué la basilique trouvera un lieu où se convertir à la vie. Où il renoncera à la mort, la violence, ses faux dieux, pour le Dieu qui aime. J’ai cette espérance. Cela ne m’appartient pas, ni à Jean-Paul II lorsqu’il avait rencontré son agresseur. Ce n’est pas utopique. C’est parce que l’Église croit qu’un homme peut encore accomplir quelque chose de plus grand que ses actes qu’elle est contre la peine de mort.

Laurent PERCEROU Evêque de Nantes

« Ayez la joie de l’espérance, tenez bon dans l’épreuve » (Romains 12, 12)

Chers diocésains,

Notre pays, comme de nombreux pays européens, entre dans un nouveau confinement en raison de la dégradation de la situation sanitaire. Aussi, comme au printemps dernier et à compter du 3 novembre, nous ne pourrons plus nous rassembler physiquement pour célébrer l’Eucharistie et les autres sacrements. Je sais que s’exprime ici et là – et je le comprends – de la lassitude à devoir revivre une expérience éprouvante, de l’incompréhension et même de la colère (qui n’est jamais bonne conseillère !)

Aussi, je crois qu’il nous faut consentir. Qu’est-ce que consentir ? C’est accueillir une réalité que nous n’avons pas choisie et qui vient bousculer l’équilibre de notre vie, pour un plus grand bien… Nous pouvons consentir à de petites choses, mais également à de plus grandes. Par exemple, un père ou une mère de famille qui consent à ce que son conjoint parte travailler, pour un temps, loin du domicile familial parce qu’il est nécessaire que la famille dispose du nécessaire pour vivre. Et nous pourrions multiplier les exemples.

A quoi devons-nous consentir ?  Le confinement imposé par les autorités politiques nous demande de consentir à renoncer à notre vie habituelle en Eglise et à l’accueil du Christ en nos vies par la pratique sacramentelle, tout particulièrement celle de l’Eucharistie.  Pour quel bien ? Permettre à notre pays, et plus largement à notre monde, d’enrayer une pandémie qui menace la vie humaine. Il s’agit du primat de la charité.

« Consentir » ne signifie pas « se résigner ». Il est vrai que nous ne pouvons pas faire autrement que d’accueillir la réalité du confinement pour au moins un mois. Mais se résigner, c’est manquer d’espérance. Or il nous faut croire que dans tous les efforts déployés par les soignants, les chercheurs, par tous les acteurs des services à la population, dans tous les gestes de fraternité vécus au quotidien dans la simplicité et la proximité, s’exprime ce qu’il y a de plus beau en l’homme qui est pour nous cette étincelle divine, cette étincelle de résurrection. Il nous faut croire que le sacrifice consenti, non seulement nous rend solidaires de tous nos frères et sœurs souffrants à travers le monde, de tous nos frères et sœurs chrétiens qui vivent sans pouvoir communier au corps de leur Seigneur, mais qu’il participe à la lutte contre cette pandémie qui menace l’équilibre de notre monde.

Oui, il est douloureux de consentir à ne pas communier. Mais ce serait encore plus douloureux si l’Eucharistie n’était plus célébrée ! Avec fidélité, chaque jour, les prêtres du monde entier élèvent les offrandes du pain et du vin vers le Père afin qu’il les « sanctifie par son Esprit, pour qu’elles deviennent le corps et le sang de son Fils Jésus-Christ notre Seigneur, qui nous a dit de célébrer ce mystère »[2]. Là retentit une invitation à redécouvrir ce que nous oublions trop souvent : l’Eucharistie est célébrée pour la « multitude », qui n’est pas seulement l’assemblée présente physiquement ou la multitude des seuls chrétiens, mais bien l’humanité tout entière.

Aussi, en cette période éprouvante, je voudrais reprendre à mon compte ce que vous écrivait le père François RENAUD lors du précédent confinement :

« Dans l’épreuve, soyons persévérants à louer le Seigneur et à encourager les fidèles à demeurer dans cette disposition. C’est peut-être là notre point de conversion majeur.

Cette invitation à la conversion concerne aussi notre témoignage de la charité. Aux yeux du monde, le risque serait de se situer comme un groupe identitaire qui n’aurait que le souci « du groupe ». Nous connaissons la lettre à Diognète. Notre réponse à la pandémie doit être la charité, en faisant le maximum, selon nos possibilités propres, spirituellement et matériellement, pour les mourants, les malades, les anciens, les pauvres, les personnes isolées. Le moment venu, nous saurons revenir à l’Eucharistie, non comme à un dû ou à une routine, mais comme à un don inouï.

Chers diocésains, en ces temps d’épreuve, l’Esprit Saint n’est pas confiné et déjà il guide votre route.

 « Soyez unis les uns aux autres par l’affection fraternelle, rivalisez de respect les uns pour les autres. Ne ralentissez pas votre élan, restez dans la ferveur de l’Esprit, servez le Seigneur, ayez la joie de l’espérance, tenez bon dans l’épreuve, soyez assidus à la prière. » (St Paul aux Romains, 12, 10-12)

Fraternellement,

+ Laurent PERCEROU
Evêque de Nantes

Jean Yves Leloup

Décapité
 

Louis Antoine Leloup, Anne sa femme, Claire Renée et Marie Perrine ses filles, furent décapités le 17 janvier 1794, au nom de la république et de la laïcité, parce que ceux-ci possédaient chez eux des « images » du Sacré-Cœur.

Comment des images (même pas des caricatures) peuvent-elles être ainsi l’occasion de crimes ? Au nom de quoi ? De la république ? De la raison ? De l’idéologie qui doit effacer toute image où l’homme est représenté avec un cœur ?

Faut-il rappeler que l’Etat laïc et républicain fut fondé à grands coups de guillotine ? Et il n’y a pas si longtemps dans les rues de Paris, certains manifestants ne se promenaient-ils pas la tête du Président (en image) sur des piques ?

La France est le peuple qui peut se vanter, non sans arrogance, d’avoir décapité une multitude d’êtres humains de tout âge et de tout milieu, son roi et sa reine et d’en avoir fait un grand spectacle plus cruel et absurde que tous les tweeters d’aujourd’hui.

Qu’on décapite au nom de la religion ou de la laïcité, pour des images pieuses ou pour des caricatures, ce sont toujours de beaux visages humains, des têtes innocentes qui tombent…

Ce n’est pas seulement contre la barbarie des islamistes ou celle des républicains laïcs et révolutionnaires qu’il faut lutter mais contre le fanatisme et la violence qui sont inscrits dans le cœur de l’homme, ou plus exactement dans son absence de cœur. C’est à des « cerveaux sur pattes » pleins de leurs raisonnements ou de leurs idéologies qu’il faut s’affronter.

L’obscurantisme des lumières est sans doute égal à l’obscurantisme des religions. Les uns comme les autres, au nom de la lumière, que ce soit celle de la raison ou celle de la foi, peuvent être des assassins du jour (Dies) et il fait nuit sur le monde.

Faut-il oser le dire, ne pas avoir peur de se faire traiter de demeuré ou de naïf : « les lumières » sans amour sont des lames d’acier qui glacent et qui tuent. 

L’homme sans cœur, qu’il soit laïc ou religieux, quelque soit son idéologie est capable de tous les crimes. Mais avoir un cœur, n’est-ce pas trop demander à l’homme qui veut toujours avoir raison ?

L’homme qui a un cœur est un vrai Dieu, un Dieu incarné, une conscience qui a les pieds sur terre et qui garde la tête sur ses épaules.

 

Jean yves Leloup

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“Au cours de ces cinq jours d’assemblée, nous avons été réveillés par le témoignage des peuples autochtones et motivés par nos luttes et nos rêves. ”

Une journée pas comme les autres! Venus de la paroisse Sainte Émilie de Villeneuve et de la paroisse Saint Vincent de Paul. Ils étaient nombreux : enfants du catéchisme, catéchistes et parents à venir sur les pas d'Émile pour faire sa connaissance. Les soeurs Jeanne Hermine, cinthia et Eliane-Claire ont participé activement.

(Sr. Eliane Claire Kenguele)

CIMI: Conseil Indegéniste Missionnaire.

Organisme lié à CNBB, Conférence Nationale des Evêques du Brésil.

Il a été créé pour la défense des peuples indigènes et de leurs territoires.

Cette assemblée, la XXIII, a eu lieu au Centre de Fractions Vicente Cañas de Luziânia, dans l’État de Goiais.

Le thème: Pour la défense de la Constitution, contre le vol et la dévastation des territoires indigènes.

Devise: "Arrêtez !!! cette terre a des propriétaires ! En ce temps sombre qui menace la vie des "peuples autochtones", le CIMI veut être une réponse d'Espérance. Plus les temps sont durs, plus l'Espérance doit être grande !" (Pedro Casaldáliga)

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Les laïcs du Gabon se réunissent à Lambaréné pour leur deuxième journée nationale de la Famille Bleue.
Ils sont 38 en provenance de Mekambo, Port-Gentil, Libreville, Fougamou et Lambaréné.
Le laïc à la rencontre du charisme et de la spiritualité des sœurs de N. D. de l’Immaculée Conception de Castres est le thème de cette journée.
Pendant le chant d’entrée de la messe d’ouverture, chaque groupe a déposé le nom de son groupe aux pieds de saint Joseph, avec un lampion allumé.
Arrivés des 4 coins du Gabon, pour ce grand rendez-vous, la fête de la Visitation nous a fait goûter  la joie de Marie à la rencontre d' Elisabeth. Merci pour vos prières qui nous accompagnent.

(Sœur Louise Marie)

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Nouvelles de la Maison Mère

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Montagnes de Judée

 

De ces montagnes de Judée, en plein désert, j'ai pu redire avec le psalmiste : '' Je lève les yeux vers les montagnes, d'où le secours me viendra-t-il ?''

Et le Seigneur m'a gardée au départ et au retour...
De Castres je partage avec vous toutes les bénédictions spéciales de ce séjour en Israël que nous aurons, par bien des manières, la possibilité de partager. J'ai prié pour nous. Merci encore à chacune.

(Marie Philomène Diouf)

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